Avril Lavigne fond en larmes à la télé

Crédits : PR Photos
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[VIDEO] Souvenez-vous… l’an dernier la tournée mondiale d’Avril Lavigne ne s’était pas déroulée normalement, les dernières dates ayant été purement et simplement annulées. A l’époque personne ne savait vraiment pourquoi. Certains médecins avaient alors évoqué un état de fatigue chronique, d’autres une sorte de burn-out. Dans tous les cas, tous lui avaient préconisé beaucoup de repos.


Puis en avril dernier, Avril Lavigne avait fini par avouer au magazine People qu’elle était atteinte de la maladie de Lyme et qu’elle avait été alitée pendant plusieurs mois. « J’avais l’impression que je ne pouvais pas respirer, je ne pouvais pas parler ni bouger. J’ai cru que j’allais mourir ». avait-elle alors déclaré.

Des propos qu’elle a plus ou moins réitéré sur la chaîne américaine ABC News… La chanteuse y évoque son calvaire « la pire période de sa vie » précise t-elle puis fond en larmes. Et d’avouer que c’est elle qui avait découvert le mal dont elle souffrait et non les médecins. Avril Lavigne a ensuite déploré que les malades soient souvent considérés comme des fous,  les médecins n’arrivant pas souvent à établir de diagnostic.

Aujourd’hui elle va heureusement beaucoup mieux, et c’est bien là l’essentiel…


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La maladie de Lyme ou borréliose de Lyme, est une infection due à une bactérie transmise lors d’une piqûre de tique. Quelque 27 000 nouveaux cas sont identifiés en France chaque année. L’infection est souvent sans symptôme. Cependant elle peut provoquer une maladie parfois invalidante (douleurs articulaires durables, paralysie partielle des membres…).

Signes cliniques :La lésion très évocatrice de la maladie de Lyme est appelée « érythème chronique migrant », mais elle est inconstante. Il s’agit d’une éruption rouge, inflammatoire, débutant trois à trente jours après la piqûre, centrée au point de piqûre. Elle s’étend ensuite et peut s’associer à de la fièvre, puis disparaître spontanément en quelques semaines.
Si l’érythème chronique migrant passe inaperçu ou n’existe pas, il peut apparaître alors quelques semaines à quelques mois plus tard une phase secondaire de la maladie caractérisée par plusieurs manifestations isolées ou associées : manifestations articulaires, cutanées, cardiaques, neurologiques, générales (à type de fatigue chronique).

Des mois à des années après l’infection peuvent apparaître des manifestations tertiaires, de type articulaire, cutané, neurologique, musculaire, ou cardiaque.
L’évolution est très favorable lorsque la maladie est diagnostiquée et traitée précocement. En l’absence de traitement, l’évolution vers la phase secondaire n’est pas systématique, mais aggrave le pronostic. Source



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