Parmi les nombreux films qui sont sortis dans les salles obscures françaises ce mercredi 11 février, il y a le drame israélien d’Eran Riklis « Mon fils » avec dans les rôles principaux Tawfeek Barhom, Yaël Abecassis et Michael Moshonov.
Et alors que le film a été plutôt bien accueilli par la presse, c’est très doucement qu’il a commencé sa carrière française avec seulement 437 spectateurs lors des premières séances parisiennes de 14 heures (source CBO Box Office).
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A noter que pour ce film le réalisateur s’est inspiré des livres « Les Arabes dansent aussi » et La deuxième personne » de Sayed Kashua.
L’histoire est celle d’Iyad, un enfant a grandi dans une ville arabe en Israël. A 16 ans, il intègre un prestigieux internat juif à Jérusalem. Il est le premier et seul Arabe à y être admis. Il est progressivement accepté par ses camarades mais n’a qu’un véritable ami, Yonatan, un garçon atteint d’une maladie héréditaire. Iyad se rapproche de la famille de Yonatan, apportant du courage et de la force à sa mère Edna. Il devient vite le deuxième fils de la famille…
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