Koh-Lanta : Adrien révèle avoir traversé une dépression : « J’ai touché le fond »

Adrien, candidat emblématique de la dernière saison de Koh-Lanta, a brisé le silence jeudi soir en partageant un message bouleversant en story sur Instagram. Très apprécié des téléspectateurs pour son authenticité, son humour et son énergie débordante lors de l’aventure, le jeune homme a révélé avoir traversé une période de profonde détresse psychologique ces derniers mois.


Dans un long texte sincère, Adrien confie être passé « d’émotions d’exaltation, de surpuissance, de bien-être » à une véritable descente aux enfers.

Capture TF1

« Je suis passé d’émotion d’exaltation, de surpuissance, de bien-être, d’être pleinement heureux et en phase avec moi-même jusqu’à la fin du Tour de France, au néant, à la panique ou désespoir depuis le mois de février à Paris. J’arrivais plus à suivre mes cours de théâtre. »

Adrien, qui s’était lancé dans un tour de France l’an dernier, explique avoir perdu pied, incapable de suivre le rythme de son quotidien, touchant ce qu’il décrit lui-même comme le « fond ».

« J’ai vécu plusieurs mois très compliqués, en totale perte de contrôle. J’ai touché le fond. »

Malgré cette période difficile, Adrien ne perd pas espoir et garde foi en l’avenir. Avec beaucoup de lucidité et de recul, il envisage même de transformer cette épreuve en matière artistique.

« J’écrirai sûrement un jour un sketch, mais je tenais à vous le dire parce que vous êtes aussi un peu ma petite famille. On a traversé des belles choses ensemble, et c’est pas fini. »

Toujours aussi passionné par la scène, il réaffirme sa volonté de devenir comédien et de « continuer les aventures ». Mais avant cela, il ressent le besoin de « stabiliser un peu tout ça » pour aller mieux mentalement.

« J’ai vraiment été au fond du trou, mais je vais remonter la pente, parce que quand on veut, on peut. (…) La famille et les proches sont autour de moi. »

Un témoignage courageux, qui rappelle que derrière les sourires et les paillettes de la télévision, les figures publiques restent humaines et vulnérables. Le soutien de sa communauté, qu’il considère comme « une petite famille », sera sans doute un levier précieux dans sa reconstruction.

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