« Je ne l’ai pas poussé à devenir président, je n’ai jamais rêvé d’entrer à l’Élysée » a expliqué Valérie Trierweiler, avouant à demi-mot que la campagne présidentielle pourrait avoir eu raison de leur couple.
« Ma séparation est une rupture, pas un licenciement. Il n’y a pas eu de préavis » a-t-elle déclaré, en réponse aux attaques de Nathalie Kosciusko-Morizet.
« Nous ne sommes pas en guerre, nous continuons de nous appeler » a-t-elle précisé concernant l’état actuel de ses relations avec François Hollande.
Quant à ses projets maintenant qu’elle n’est plus Première Dame, Valérie Trierweiler aimerait se consacrer à l’humanitaire. Et elle a confié appréhender son retour en France : « Forcément je vais bien aujourd’hui mais dans un mois, qui sait. ».