« Mammifères, les conquérants de l’extrême » au programme TV du mardi 22 avril 2025 – Ce mardi soir, France 2 diffuse le documentaire inédit « Mammifères, les conquérants de l’extrême ».
A voir dès 21h05 sur France 2, ou en avant-première et en replay sur france.tv
« Mammifères, les conquérants de l’extrême » – présentation
Les mammifères ont su s’imposer dans tous les environnements, même les plus inhospitaliers, des cimes vertigineuses aux déserts brûlants. Véritables conquérants de l’extrême, leur parcours est celui d’une réussite éclatante. Leur intelligence remarquable, leur ténacité et leur vitalité hors du commun leur ont permis de triompher des défis les plus redoutables.
Dans un monde en constante mutation, ils ont su s’adapter avec brio. Mais face aux bouleversements à venir, réussiront-ils à préserver cet équilibre ?
Quelques séquences exceptionnelles à découvrir
Dans l’Arctique gelé, en plein hiver, une ourse polaire parcourt une banquise de plus en plus instable. Avec la raréfaction de ses proies, elle doit quitter le rivage pour s’enfoncer dans les terres. Là, les règles de chasse changent, mais grâce à une endurance impressionnante, elle parvient à capturer des rennes du Svalbard. Une scène inédite, témoignant de l’ingéniosité des mammifères pour s’adapter aux bouleversements climatiques.
Dans les profondeurs océaniques, un événement rare se produit : un bébé cachalot vient au monde. Tout son clan l’accueille avec attention, tandis que sa mère plonge dans les abysses pour chasser le calmar et le nourrir. Grandissant dans la solidarité du groupe, ce jeune cachalot pourrait vivre jusqu’à 70 ans. Leur capacité d’entraide et leur intelligence remarquable leur ont permis de dominer l’un des milieux les plus extrêmes de la planète.
Sous la terre, la taupe à nez étoilé évolue dans un monde souterrain. Presque aveugle, elle s’oriente grâce à son museau unique, doté de tentacules ultrasensibles. Adaptée aux inondations printanières, elle utilise ses larges pattes aussi bien pour creuser que pour nager, prouvant qu’ingéniosité et adaptation peuvent venir sous des formes inattendues.
Dans les déserts australiens, le dromadaire, introduit au 19ᵉ siècle, prospère aujourd’hui à l’état sauvage. Sa bosse emblématique lui permet de supporter la chaleur écrasante et de résister à la soif. Lorsqu’une femelle apparaît dans l’immensité désertique, le mâle déploie une parade spectaculaire en gonflant le voile de son palais, espérant ainsi la séduire.