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Le chanteur et comédien français a donc tenu à mettre les point sur les « i » en commençant par nier catégoriquement avoir donné le moindre centime à l’armée Israélienne « Je n’ai jamais donné un centime à l’armée Israélienne, ni à une armée quelle qu’elle soit et cela ne me traversera jamais l’esprit » a t-il déclaré.
Précisant qu’il était avant tout un homme de paix, il a spécifié qu’il était allé chanter pour des concerts donnés au profit associations caritatives, pour des hôpitaux, des enfants défavorisés ou atteints de maladies rares.
Dans sa tribune, Patrick Bruel rappelle qu’il a été l’un des instigateurs de la conférence de Genève et qu’avec son « Concert pour la Paix » en 2005, il a tenu à réunir, pour un 4 mains, deux pianistes, l’un Palestinien, l’autre Israélien.
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Et d’inviter les auteurs de ces messages à (re)lire le passage très clair sur le conflit israélo-arabe dans le livre qu’il a publié en 2009.
Rappelant que son discours n’a jamais varié et qu’il a toujours « prôné la création d’un Etat Palestinien qui reconnaisse l’Etat d’Israël et respecte sa sécurité et vice-versa », il déplore l’actuelle escalade de violence d’autant que des enfants et des civils sont au cœur de cette tragédie.
« Que des voix musulmanes , juives et chrétiennes entre autres, s’élèvent pour apaiser ce qui est en train de devenir une catastrophe, et ramènent le monde sur le chemin du « vivre ensemble… » conclut-il.