Amber Heard exploitée sexuellement ?

Après avoir beaucoup alimenté la presse people ces derniers mois – c’était bien sûr dans le cadre de son divorce avec Johnny Depp – Amber Heard se retrouve de nouveau sur le terrain judiciaire. Pourquoi ? Et bien parce qu’elle vient de déposer plainte contre le producteur Christophe Hanley qui, dans le film « London Fields », a utilisé une doublure pour des scènes sexuellement explicites. Pour la petite info, ce film n’est pas encore sorti. Mais alors où est le problème vous demandez-vous peut-être ? Et bien c’est tout simplement une histoire de contrat. Explications…

Crédits : PR Photos

Si l’actrice a accepté de tourner dans ce film c’est sous certaines conditions. Dans le contrat signé par l’actrice était clairement établies selon son avocat « des restrictions précises sur sa nudité et sur les scènes de sexe ». En clair pas question d’apparaître nue et/ou de jouer des scènes olé-olé. Des exigences que le producteur du film et son épouse (scénariste, ndrl) auraient fini par accepter. Jusque-là tout va bien…

C’est après que les choses se sont un peu gâtées. Face au refus d’Amber Heard de jouer ce type de scènes, le couple aurait engagé sans son consentement une doublure chargée de le faire à sa place… En clair un moyen de contourner le contrat en engageant une doublure se faisant passer pour elle y compris dans une séquence qualifiée de « pornographique ».

Et c’est là que le bas blesse ! Selon l’avocat de l’actrice la doublure en question « a tourné une scène sexuelle pornographique et très explicite qu’Amber Heard n’aurait jamais accepté de faire. Or, le montage effectué donne l’impression qu’il s’agit vraiment d’elle ». Et elle n’aurait jamais donné son accord pour ça. Et de suggérer que ces scènes aient été tournées en cachette et donc à son insu.

De leur côté, Christophe Hanley et son épouse ont sous-entendu que l’actrice en faisait un peu trop. « C’est la dernière d’une série d’allégations fantastiques qu’Amber a faites, comme ce fut le cas dans le cadre de son divorce médiatique. Ce n’est rien de plus qu’une tactique de diversion pour qu’on oublie sa mauvaise conduite » ont-ils notamment déclaré.

Et si ce film évoque peut-être quelque chose vous, ce n’est pas un hasard. Fin 2016 ces mêmes producteurs accusaient l’actrice d’avoir tout fait pour sabo­ter la sortie du film (dépassement de budget, retard…) puis d’avoir refusé d’en assurer la promo notamment lors du festi­val du film de Toronto.


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