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Après de nombreux mois d’attente le rapport d’autopsie a enfin livré son verdict : Amy Winehouse, qui avait pourtant juré qu’elle ne buvait plus, est morte après avoir consommé trop d’alcool.
Après une assez longue période d’abstinence (3 semaines selon ses proches), Amy Winehouse a donc replongé et a été victime de ce que l’on appelle un « stop and go » (ndrl en français : « stopper et repartir »).
Une absorption massive et excessive d’alcool qui, après une période d’abstinence, lui a été fatale.
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Selon le rapport Amy Winehouse avait consommé de l’alcol à hauteur de 416 mg par décilitre de sang. Aucune trace de drogue n’a pas contre été retrouvée.