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« Polisse », c’est « police » écrit par quelqu’un qui n’en connaitrait pas l’orthographe. Un enfant, par exemple. Le film se déroule en effet à la Brigade de Protection des Mineurs (BPM), où la réalisatrice a fait un stage en immersion avant le tournage.
Caméra à l’épaule, Maïwenn y filme les gardes à vue de pédophiles, les auditions de parents maltraitants, les dépositions des enfants victimes, mais aussi les relations entre les policiers.
La pause déjeuner où l’on se raconte ses problèmes de couple, les auditions de parents maltraitants, les dépositions des enfants, les dérives de la sexualité chez les adolescents, mais aussi la solidarité entre collègues et les fous rires incontrôlables dans les moments les plus impensables, c’est savoir que le pire existe, et tenter de faire avec…
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A découvrir dés aujourd’hui au cinéma.