Grandiose, au sommet de son art sont quelques-uns des qualificatifs que l’on retrouve le plus souvent dans la presse à propos de son rôle dans la pièce, celui d’un homme qui ne vit que par et pour le mensonge et qui en arrive même à en faire l’éloge. Toutes les vérités ne seraient-elles pas bonnes à dire ?
« Pierre Arditi au comble de son art de menteur » écrit Télérama; « Acrobate prodigieux du mensonge (…) Arditi touche au grand art ! » rajoute encore Le Point.
Sur une mise en scène de Bernard Murat, vous ne vous ennuierez pas une seule seconde même si vous aurez parfois du mal à vous y retrouver… Rires garantis.
Présentation officielle de la pièce : Dans la rue, Alice a surpris le mari d’une de ses amies avec une autre femme et se trouve confrontée à ce dilemme entêtant : faut-il lui dire ce qu’elle a vu ?
Paul tente de la convaincre qu’elle doit absolument lui cacher la vérité.
Il fait ainsi l’éloge du mensonge.
Est-ce seulement pour défendre son ami ?
Ou a-t-il lui aussi des choses à cacher ?
À moins que ce ne soit elle qui avance masquée ?
Pour mieux lui faire avouer ses mensonges ?
Pour mieux dissimuler les siens ? Difficile à dire…
Une seule certitude : toute vérité n’est pas bonne à ne pas dire… et inversement.