La série « Marseille » de Netflix démontée par les critiques

Il ne suffit pas d’avoir un bon casting pour faire un film ou une série de qualité. A l’instar de Christian Clavier, qui a récemment essuyé de vives critiques pour son film « Les Visiteurs 3 » dont le casting était pourtant prometteur, la nouvelle série de Netflix, « Marseille », est pour beaucoup qualifiée de navet.


Et pourtant, on retrouve dans « Marseille » Gérard Depardieu aux côtés de Benoît Magimel, Hippolyte Girardot, ou encore Géraldine Pailhas.

La série "Marseille" de Netflix


Publicité

Mais « Marseille » n’a pas convaincu les critiques, qui jugent la série particulièrement mauvaise alors qu’elle était censée être un produit fort de l’offre de Netflix.


Publicité

Présentée la semaine dernière au Festival Séries Mania, la série « Marseille » sera disponible sur Netflix à partir du jeudi 5 mai. Cette saison 1 comporte 8 épisodes et les deux premiers seront également diffusés sur TF1 le jeudi 12 mai à 20h55.

Pour Télérama, cette série « est plus qu’une déception. C’est une débandade artistique, un raté industriel pour Netflix, sans doute son premier navet maison, qu’on découvre d’abord surpris, puis consterné, enfin hilare face à la pauvreté de son scénario, l’indigence de ses dialogues, la lourdeur de sa mise en scène et la faiblesse de son interprétation ».

Ouest France affirme que « Marseille » est « une opération de communication sans fond ». Le journaliste parle d’une « ambition manquée et un projet bancal » de Netflix, allant même jusqu’à dire que « ça ne donne pas franchement envie de s’abonner ».

Synopsis : Robert Taro (Gérard Depardieu) est maire de Marseille depuis 25 ans. Les prochaines élections municipales vont l’opposer à l’homme qu’il avait choisi pour lui succéder, un jeune loup aux dents longues. Les deux candidats vont se livrer un combat sans merci au terme duquel un seul sortira vainqueur. Une lutte au couteau s’engage, tournant autour de la vengeance et animée par les barons de la drogue, les politiciens, les syndicats et les acteurs politiques de la ville.



Publicité


Retour en haut