Cette dernière lui reproche d’avoir utilisé, dans son roman « Fragments d’une femme perdue », des lettres personnelles qui lui étaient adressées.
Une décision que PPDA n’accepte pas. Sur son site internet il écrit « l’intérêt de la plaignante était d’abord et avant tout financier (…) de ce point de vue, le tribunal ne lui a accordé que le sixième de ce qu’elle réclamait ». Il rajoute qu’il va demander à son avocat, Maître Francis Teitgen, d’interjeter appel de cette décision de justice.
Et de rajouter « Il est piquant d’observer qu’une femme qui disait ne pas vouloir être reconnue se mette à crier sur tous les toits : « C’est moi ! » avec l’espoir d’entrer ainsi en littérature dans la peau d’une héroïne »
En guise de conclusion il rajoute « N’est pas héroïne qui veut, surtout pas avec des SMS ou des brouillons de lettres d’amour »