[BUZZ] Comme vous l’avez très certainement appris le chanteur français Jean-Luc Lahaye a été condamné en début de semaine à un an de prison avec sursis pour corruption de mineurs. Pour mémoire il était poursuivi pour avoir demandé à une adolescente de 15 ans de s’adonner à des jeux sexuels par webcams interposées, il y a deux ans. Le seul motif de corruption de mineurs a été retenu contre le chanteur, âgé de 62 ans, tandis qu’il a été relaxé pour la détention de fichiers pédopornographiques.
Dès le lendemain Jean-Luc Lahaye réagissait au micro de RTL. Reconnaissant être attirée par les femmes plus jeunes que lui, et alors que Marc-Olivier Fogiel lui demandait s’il n’aurait pas intérêt à se tourner vers des femmes plus âgées, il avait répondu : « Que je me tape Julie Pietri ? Non je rigole »…
Une réponse que la principale intéressée n’avait pas du tout apprécié. Vexée, mais qui ne le serait pas, elle avait fait savoir par le biais de son avocat qu’elle envisageait de déposer plainte en raison d’une atteinte considérable à son honneur ».
Jean-Luc Lahaye s’est-il rendu compte qu’il était allé trop loin ? Il faut le croire. Sur sa page Facebook il a présenté ses excuses à celle qui a partagé avec lui de nombreuses dates de la tournée « Star 80 » tout en expliquant son choix bien maladroit.
Si je me suis autorisé cette plaisanterie concernant Julie Pietri, c’est avant tout par réaction légitime à ses propos blessants me concernant. Propos qu’elle répandait au sein de l’équipe Stars 80 suite à mon communiqué de renoncement quant à ma participation à cette tournée de printemps. Elle sait parfaitement de quoi je veux parler. La teneur de ses sms et autres mails m’ont été rapportés. Julie est une artiste que j’ai soutenu. J’ai milité pour sa présence avec nous lors de la tournée d’automne 2014. D’où ma très grande déconvenue.
Cependant si ma petite phrase, glissée avec humour lors de l’interview à RTL chez Fogiel, a pu la blesser, je lui présente mes excuses. J’ai horreur de causer de la peine. Et je sais de quoi je parle pour en avoir souvent été victime.