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Dans l’édition du jour du Parisien on apprend aujourd’hui qu’Agathe Borne réclame à PPDA la modique somme de 150.000 euros de dommages et intérêts au motif d’atteinte à la vie privée.
Elle lui reproche d’avoir publié des lettres personnelles qu’elle lui avait adressé entre 2006 et 2008 alors qu’ils entretenaient une relation « intime ».
Selon la plaignante ces lettres se sont ensuite retrouvées dans le roman « Fragments d’une femme perdue » que Patrick Poivre d’Arvor a publié en 2009.
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Citée par France Soir l’avocate d’Agathe Borne indique que sa cliente a été tellement « submergée par la honte » qu’elle a réussi à convaincre son mari et ses enfants de partir aux Etats-Unis.
De son côté l’avocat de PPDA a rétorqué que ce roman était de l’auto-fiction, « un genre littéraire qui vient mélanger la vie réelle et la vie rêvée ».
Crédit photo : PR Photos