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Tristane Banon a donné sa version des faits, qui n’est bien sûr pas du tout la même. Quand Dominique Strauss-Kahn parle de « version imaginaire et calomniseuse », Tristane Banon explique : « Très vite, on s’est battu, cela a mal tourné et si je n’avais pas eu beaucoup de chance cela aurait fini par un viol ».
« Ma légèreté, je l’ai perdue le 11 février 2003 » a-t-elle ajouté, avant de préciser que si sa plainte n’aboutissait pas, elle n’hésiterait pas à se porter partie civile.
Tristane Banon est plus déterminée que jamais et les ennuis de DSK sont donc bien loin d’être terminés…
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