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Dans « La saison de l’ombre », Léonora Miano revient sur la traite négrière pour faire entendre la voix de celles et ceux à qui elle a volé un être cher.
Léonora Miano était face à Pierre Lemaître pour « Au revoir là-haut », Charif Majdanali pour « Le Dernier seigneur de Marsad », Céline Minard pour « Faillir être flingué », et Laurent Seksik pour « Le Cas Éduard Einstein ».
« Je me réjouis vivement de ce choix, qui rend hommage à la beauté d’une langue tout imprégnée par l’amour de la France, où elle s’établit en 1991. » a commenté Aurélie Filippetti, ministre de la Culture. « Il rend hommage aussi à un chantre passionné du peuple subsaharien, le héros de son œuvre déjà abondante et maintes fois primée. »
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Avant cette récompense, Léonora Miano a reçu le Prix Goncourt des lycéens en 2006 pour « Contours du jour qui vient ».
A noter que c’est Richard Ford qui a reçu le Prix Fémina du roman étranger pour « Canada ».