Linda de Suza : «Je n’ai même pas de quoi nourrir mon chien»

 ©Sur un Air d'Accordeon
©Sur un Air d’Accordeon

Publicité

Les temps sont durs pour tout le monde ! La chanteuse d’origine portugaise Linda de Suza n’est pas épargnée. Très populaire dans les années 80 celle dont l’histoire avait ému toute la France est aujourd’hui dans une situation précaire. Sur RTL, elle a ainsi annoncé qu’elle n’avait même plus les moyens de nourrir son chien.


« Je n’ai rien. Je ne possède rien. J’ai vendu des millions de livres, des millions de disques. Et puis je n’ai rien. Je n’ai même pas de quoi ache­ter à manger pour mon chien» a t-elle notamment déclaré au bord des larmes au micro de la célèbre station de la rue Bayard.

Une situation qui serait la conséquence d’une erreur administrative. C’est ainsi qu’elle a expliqué le pourquoi du comment :

« Je suis rentrée en France en 1970 et de 70 à 78, j’étais femme de chambre. J’ai cotisé. Après je deviens artiste, et voilà que les flics, les renseignements généraux disent que je suis rentrée en France en décembre 79, en me mettant un nouveau numéro de séjour et puis, en disant que je suis profession libérale »


Publicité

Il y a peu un peu moins d’un an, c’était en mars 2014, la chanteuse tenait déjà un discours très similaire dans un appel à l’aide lancé dans les colonnes de France Dimanche.

Si disant ruinée, elle avait expliqué que ses producteurs ne l’avaient jamais déclarée aux caisses de retraite et qu’elle ne disposait que de très faibles revenus.  Et de rajouter qu’elle avait aussi été victime d’une usurpation d’identité et d’un détournement de fonds.

Les appels à l’aide de Georgette Lemaire et Marthe Mercadier

L’année dernière c’est Georgette Lemaire et Marthe Mercadier qui se sont retrouvées dans des situations toutes aussi inconfortables.

A commencer par georgette Lemaire. Au printemps dernier, et en raison d’une dette locative de plus de 20 000 euros, elle lançait un appel à l’aide dans les colonnes du Parisien.

Elle avait alors déclaré ne plus avoir les moyens de payer son loyer précisant qu’elle était sous la menace d’une expulsion de son logement après un énième jugement « le 6eme ».

Sa maigre retraite de 800 euros ne lui permettant pas de faire face à ses dépenses courantes –  des dépenses bien modestes et bien loin du bling bling que certains pourraient imaginer avait précisé le Parisien – elle avait expliqué ne pas vouloir faire l’aumône réclamant juste à travailler : « Il suffit qu’on m’appelle pour trois, quatre galas et je suis sauvée » avait-elle alors déclaré.

Peu de temps avant c’est Marthe Mercadier qui confiait vivre sous le menace d’une expulsion de son logement en raison de loyers impayés.

« J’avais obtenu un logement à Neuilly grâce à ma retraite et à mon cachet de Danse avec les stars, mais l’État, qui menace de m’expulser, prélève aussi une bonne moitié de cette retraite, ce qui m’empêche d’être relogée sur le marché privé » avait-elle alors déclaré.

Pour expliquer cette situation, Marthe Mercadier  avait expliqué avoir fait trop confiance en se portant caution pour des personnes qui n’ont pas remboursé ce qu’ils avaient emprunté.



Publicité


error: Content is protected !!
Retour en haut