« Divergente 2 » en tête des premières séances

©SND
©SND

Publicité

Sans grande surprise il faut bien le dire c’est le film « Divergente : l’insurrection » qui s’est imposé en tête des premières séances parisiennes, celles de ce mercredi 18 mars 2015 à 14 heures.


Avec 2174 spectateurs répartis dans une combinaison de 19 salles, ce deuxième volet de la trilogie fait presque le double du premier et réalise le 8eme démarrage de l’année 2015.

Réalisé par Robert Schwentke, il met en scène Shailene Woodley, Theo James, Octavia Spencer, Jai Courtney, Ray Stevenson, Zoe Kravitz, Miles Teller, Ansel Elgort, Maggie Q, Mekhi Phifer, Daniel Dae Kim, Naomi Watts, and Kate Winslet.

Dans ce deuxième volet, Tris et Quatre sont en cavale, traqués par Jeanine, la femme-chef des érudits avide de pouvoir. Et alors que Tris a tout tout perdu, elle va tenter de comprendre ce que sa famille a cherché à protéger et surtout pourquoi les dirigeants érudits font tout pour l’arrêter dans sa quête. Hantée par ses choix passés mais plus que jamais décidée à protéger ceux qu’elle aime, Tris va faire face à un défi impossible pour déverrouiller la vérité sur le passé et, finalement, l’avenir de leur monde.


Publicité

Synopsis : Dans un monde post-apocalypique et un Chicago en ruines, c’est une Tris fugitive et totalement métamorphosée que vous allez pouvoir découvrir. Dans ce court teaser elle tente par tous les moyens, même les plus acrobatiques (elle a pris des cours avec Spider-man ou quoi ?) de venir en aide à sa mère prisonnière d’un immeuble en flammes. Cette dernière étant morte à la fin du premier volet, on imagine qu’elle est en train de faire un cauchemar. Pour mieux surmonter ses peurs ?

C’est le film de Yann Gozlan « Un homme idéal » qui prend la seconde place. Porté par Pierre Niney et Ana Girardot, le film démarre plutôt bien sa carrière et ce malgré les critiques assassines dont il a parfois fait l’objet.  1346 parisiens se sont ainsi rendus en salles pour le découvrir (20 copies).

Synopsis : Mathieu, 25 ans, aspire depuis toujours à devenir un auteur reconnu. Un rêve qui lui semble inaccessible car malgré tous ses efforts, il n’a jamais réussi à être édité. En attendant, il gagne sa vie en travaillant chez son oncle qui dirige une société de déménagement…
Son destin bascule le jour où il tombe par hasard sur le manuscrit d’un vieil homme solitaire qui vient de décéder. Mathieu hésite avant finalement de s’en emparer, et de signer le texte de son nom… Devenu le nouvel espoir le plus en vue de la littérature française, et alors que l’attente autour de son second roman devient chaque jour plus pressante, Mathieu va plonger dans une spirale mensongère et criminelle pour préserver à tout prix son secret…

Et c’est Big Eyes de Tim Burton qui complète le podium. Emmené par Amy Adams, Christoph Waltz et Danny Huston, le long-métrage n’a convaincu que 967 spectateurs. C’est d’autant plus faible que le film était projeté sur 26 écrans.

Synopsis : BIG EYES raconte la scandaleuse histoire vraie de l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art. À la fin des années 50 et au début des années 60, le peintre Walter Keane a connu un succès phénoménal et révolutionné le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. La surprenante et choquante vérité a cependant fini par éclater : ces toiles n’avaient pas été peintes par Walter mais par sa femme, Margaret. L’extraordinaire mensonge des Keane a réussi à duper le monde entier. Le film se concentre sur l’éveil artistique de Margaret, le succès phénoménal de ses tableaux et sa relation tumultueuse avec son mari, qui a connu la gloire en s’attribuant tout le mérite de son travail.

Les autres sorties du jour sont assez loin derrière. « Hacker » de Michael Mann n’affiche que 696  spectateurs malgré la présence de Chris Hemsworth au casting. En même temps le film n’était diffusé que dans 9 salles.

Synopsis : À Hong Kong, la centrale nucléaire de Chai Wan a été hackée. Un logiciel malveillant, sous la forme d’un outil d’administration à distance ou RAT (Remote Access Tool), a ouvert la porte à un autre malware plus puissant qui a détruit le système de refroidissement de la centrale, provoquant la fissure d’un caisson de confinement et la fusion de son coeur. Aucune tentative d’extorsion de fonds ou de revendication politique n’a été faite. Ce qui a motivé cet acte criminel reste un mystère. Un groupe de hauts gradés de l’APL (Armée populaire de libération chinoise) charge le capitaine Dawai Chen, spécialiste de la défense contre les cyberattaques, de retrouver et de neutraliser l’auteur de ce crime. À Chicago, le Mercantile Trade Exchange (CME) est hacké, provoquant l’inflation soudaine des prix du soja.Carol Barrett, une agente chevronnée du FBI, encourage ses supérieurs à associer leurs efforts à ceux de la Chine. Mais le capitaine Chen est loin de l’idée qu’elle s’en était faite. Formé au MIT, avec une parfaite maîtrise de l’anglais, l’officier chinois insiste pour que ses homologues américains libèrent sur le champ un célèbre hacker détenu en prison : Nicholas Hathaway.

Complète le top 5 « Still Alice » de Richard Glatzer et Wash Westmoreland. Malgré l’Oscar attribué à Julianne Moore pour ce film, il n’a rassemblé que 529 personnes lors de ces premières séances dans 13 salles. Elle partage l’affiche avec Kristen Stewart, Kate Bosworth et Alec Baldwin.

Synopsis : Mariée, heureuse et mère de trois grands enfants, Alice Howland est un professeur de linguistique renommé. Mais lorsqu’elle commence à oublier ses mots et qu’on lui diagnostique les premiers signes de la maladie d’Alzheimer, les liens entre Alice et sa famille sont mis à rude épreuve. Effrayant, bouleversant, son combat pour rester elle-même est une magnifique source d’inspiration.



Publicité


error: Content is protected !!
Retour en haut