Pourquoi Maïwenn a voulu « égorger » Julie Gayet

Crédit photo : Storybox photo/Europe1
Crédit photo : Storybox photo/Europe1

Publicité

Comme vous vous en souvenez peut-être, c’était au mois de mai dernier, Maïwenn avait révélé au magazine Première son immense colère après que Julie Gayet ait en 2013 fait le choix de diffuser des images d’elle dans « Cinéast(e)s » un documentaire consacré aux femmes réalisatrices sans l’en informer. Elle avait alors déclaré au célèbre magazine français « Je l’ai appelée en lui demandant de me couper au montage, mais le film était déjà diffusé » avant de rajouter « C’est simple, je vais venir t’égorger de mes propres mains si tu ne vires pas ma séquence ». Le documentaire sera finalement coupé au montage..


Quelques mois plus tard Maïwenn est revenue sur cet incident pour Michel Denisot et son émission Conversation secrète diffusée sur Canal +. L’occasion pour elle d’apporter quelques précisions supplémentaires.

« A l’époque, Julie Gayet était déjà avec Hollande et je crois que je ne le savais pas. Je l’ai trouvée très en confiance. Elle n’a pas du tout culpabilisé de trahir ma confiance. Je lui ai dit que je ne voulais pas faire partie du film. J’ai répondu que je n’avais pas le temps, parce que je suis polie et diplomate » précisant après coup que c’est le sujet qui ne l’intéressait pas.

Puis de rajouter « Elle m’a dit un peu, genre, ‘c’est quoi ton problème’. Je n’ai pas aimé qu’elle me dise ça. On en a fait tout un ramdam uniquement parce qu’elle est avec Hollande. Elle n’aurait pas été avec lui, personne n’en aurait parlé. »


Publicité

Et lorsque Michel Denisot  lui a rappelé qu’elle avait voulu l’égorger, Maïwenn a rétorqué aussitôt  « Bah oui, quelqu’un qui n’est pas pro ( je lui avais quand même fait un SMS)  et qui me répond comme ça, elle y est allée un peu fort quand même, là ! Je ne veux jamais être dans les documentaires sur les femmes réalisatrices. ».

Maïwenn et Julie Gayet ont-elles fait la paix depuis ?



Publicité


error: Content is protected !!
Retour en haut