David Hallyday estime «normal» qu’il puisse avoir un droit de regard sur l’album posthume de son père

Soutenant sa demi-soeur (Laura Smet, ndrl), David Hallyday a choisi de contester le dernier testament de son père, celui par lequel il le déshérite totalement. Le premier enfant de Johnny ne comprend pas qu’il ne puisse même pas avoir un droit de regard sur l’album posthume de son père alors même qu’il est l’auteur de son plus grand succès commercial, l’album « Sang pour sang » vendu à plus de 2 millions d’exemplaires..


David Hallyday
Capture Facebook

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Et si jusqu’à présent il s’était montré plutôt discret sur cette affaire, le chanteur est sorti de sa réserve aujourd’hui dans le cadre d’un entretien accordé au Parisien.

C’est la première interview qu’il accordait à la presse depuis la mort de son père en décembre dernier.

L’occasion pour lui de revenir sur ce droit de regard dont on le prive aujourd’hui, un droit de regard qu’il ne cesse de réclamer et qu’on continue de lui refuser.


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«C’est mon père, je trouve ça normal. C’est la logique même, je ne vois pas dans quel pays ce ne serait pas logique (…) Avec une telle carrière, c’est normal que son fils, sa fille comme ses deux autres petites filles aient un droit de regard dessus» a t-il notamment déclaré.

Puis de rajouter que Johnny lui avait toujours fait écouter ses albums, tout au moins en partie, avant qu’ils ne sortent. Il lui avait d’ailleurs déjà fait écouter deux titres de cet album posthume.

En guise de conclusion, David a aussi évoqué la douleur qu’il continuait de ressentir au quotidien depuis la mort de son père. « Il me manque terriblement, il y a des hauts et des bas, des moments où je me sens fort, des moments où je me sens moins fort. Dans ces moments, je pense à lui et cela me donne de la force».



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