Thierry Ardisson dévoile le nom du violeur présumé de Flavie Flament |VIDEO|

C’est une révélation qui agite beaucoup la toile depuis samedi soir. Dans le dernier numéro de « Salut les Terriens » – diffusée ce 22 octobre l’émission a été suivie par 1.02 million de téléspectateurs – s’est risqué à dévoiler le nom du violeur présumé de Flavie Flament.


capture écran C8
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Alors que cette dernière s’est refusée à donner le nom de celui qui l’aurait violée à l’âge de 13 ans, Thierry Ardisson n’y est de son côté par allé par 4 chemins. Après avoir demandé l’autorisation de Flavie Flament, il a dévoilé le nom de ce photographe mondialement connu tout en rajoutant « Je ne sais pas s’il regarde la télé mais t’es un bel enculé connard ».

Juste avant l’animatrice déclarait « J’ai aujourd’hui 42 ans, et j’avais selon la loi française jusqu’à l’âge de 38 ans pour pouvoir me retourner contre mon bourreau, a-t-elle affirmé. Je ne peux pas le faire aujourd’hui parce que je suis non seulement victime, mais je pourrais être en plus accusée de diffamation. »


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Un viol que Flavie Flament évoque dans son livre « La Consolation » paru le 19 octobre chez Lattes

En voici la présentation : Je n’aurais jamais imaginé mener l’enquête sur ma propre vie. J’ai fait un long voyage dont je suis ressortie extraordinairement vivante, avide de mon prochain et d’existence. Mais le trajet fut long, solitaire, douloureux et angoissant.Un voyage dans une mémoire enfouie, quelque part, au fond de moi, un coffre à secrets scellé du sceau de la honte, de la protection, des mensonges et des aveuglements. On l’appelle la mémoire traumatique. C’est un fantôme qui vous poursuit, assaillant invisible de vos nuits blanches et de vos bonheurs troublés. J’ai subi les premiers assauts du souvenir, sorte de flashs venant d’un infini indéfini, anéantie, soumise, interdite devant les hurlements d’un passé que plus rien n’empêchait de surgir. Alors j’ai décidé de faire face. J’ai laissé remonter les images de l’enfance, dans un désordre fou, j’ai essuyé les bourrasques, résisté au tourbillon et, assurée par des gardiens de la psychiatrie, j’ai recomposé ce film dont la projection m’était, depuis mes 12 ans, interdite.C’est mon histoire, celle de Poupette, à qui il manquait un morceau d’existence aussi vital qu’un battement de cœur. J’ai assemblé, une à une, les séquences du saccage d’une innocence, comme on recompose une photo que les coupables ont un jour sciemment déchirée.Aujourd’hui, je suis Moi, intégralement, plus forte. Consolée. Dans ce récit sensible et délicat, Flavie Flament évoque la trahison des adultes qui lui ont ravi son corps et son innocence. C’est aussi l’histoire d’une renaissance. « Je n’aurais jamais imaginé mener l’enquête sur ma propre vie. J’ai fait un long voyage dont je suis ressortie extraordinairement vivante, avide de mon prochain et d’existence. Mais le trajet fut long, solitaire, douloureux et angoissant. Un voyage dans une mémoire enfouie, quelque part, au fond de moi, un coffre à secrets scellé du sceau de la honte, de la protection, des mensonges et des aveuglements. On l’appelle la mémoire traumatique. C’est un fantôme qui vous poursuit, assaillant invisible de vos nuits blanches et de vos bonheurs troublés. C’est mon histoire, celle de Poupette, à qui il manquait un morceau d’existence aussi vital qu’un battement de cœur. J’ai assemblé, une à une, les séquences du saccage d’une innocence, comme on recompose une photo que les coupables ont un jour sciemment déchirée. Aujourd’hui, je suis Moi, intégralement, plus forte. Consolée. Dans ce récit sensible et délicat, Flavie Flament évoque la trahison des adultes qui lui ont ravi son corps et son innocence. C’est aussi l’histoire d’une renaissance. « 



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