Laeticia Hallyday se confie et s’en prend à David et Laura : « on me vole mon deuil »

Laeticia Hallyday s’est confiée pour la première fois dans un long entretien publié aujourd’hui dans le Point. L’occasion pour la femme de Johnny Hallyday de s’exprimer pour la toute première fois depuis la mort de son mari et le scandale autour de son testament, dans lequel il a choisi de déshériter totalement ses enfants aînés, David Hallyday et Laura Smet.


Et première surprise, alors qu’on la croyait unie avec David et Laura lors des obsèques nationales de Johnny à l’église de la Madeleine, ce n’était en réalité pas du tout le cas : « Je leur ai proposé d’assister à tout, mais ils n’ont pas souhaité fermer le cercueil avec moi. Ils n’ont pas voulu descendre les Champs-Elysées avec moi. Ils ont pris des avocats pour faire passer leurs souhaits pour la célébration. J’ai trouvé ça tellement étrange ! Ils ne voulaient pas d’obsèques nationales. Ils voulaient une cérémonie intime. Je mettais ça sur le besoin de se réapproprier leur père. »

Héritage de Johnny Hallyday : la lettre que Laura avait envoyé à Laeticia
Capture TF1

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Laeticia accuse aussi les enfants de Johnny d’avoir mis « plusieurs mois » avant de venir voir leur père quand il a appris qu’il souffrait d’un cancer : « Après qu’ils ont appris que leur père était malade, David a attendu six mois pour venir et Laura, quatre »

Elle leur reproche aussi de ne pas avoir tenu leur promesse faite à ses filles, Jade et Joy : « Après l’enterrement, David et Laura ont promis à mes filles de les protéger, d’être là pour elles, de les appeler à Noël, de venir nous voir en février à Los Angeles (…) Rien de tout cela ne s’est produit et on a fini, mes filles et moi, assignées par mes beaux-enfants ! Jade et Joy en souffrent aujourd’hui. Elles réclament des nouvelles de leur frère et de leur sœur »


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Laeticia Hallyday explique qu’elle vit très mal tout cette bataille judiciaire et médiatique mais se dit « prête à pardonner » à David Hallyday et Laura Smet : « Je les attends à bras ouverts. On est une famille ! Je ne demande que la paix, mais qu’on respecte la mémoire de mon mari ! Comprenez-moi : je serai, un jour, prête à pardonner. J’ai beaucoup pardonné dans ma vie, mais il faut aussi fixer les limites. On me vole mon deuil. On me roue de coups. On nous assigne, mes filles et moi »

Un entretien à lire en intégralité dans le Point, en kiosques ce jeudi 12 avril.



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