Capital du 16 mars 2025 : le sommaire de l’émission inédite ce soir sur M6


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Capital du 16 mars 2025 : sommaire et reportages – Julien Courbet vous propose ce dimanche soir sur M6 un nouveau numéro inédit de « Capital ». Aujourd’hui il a pour thème : « Privilèges et dérapages : révélations sur les folles dépenses de l’État ».


A découvrir dès 21h10 sur M6 et en replay sur M6+.

Capital du 16 mars 2025 : le sommaire de l'émission inédite ce soir sur M6
© Benjamin DECOIN/M6


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Capital du 16 mars 2025 : sommaire et reportages de ce soir

Quand l’État fait ses courses : des prix surprenants dans la commande publique
Stylos, ordinateurs, voitures de fonction ou encore aires de jeux : lorsqu’il s’agit de s’équiper, l’État et les collectivités ne passent pas par les mêmes circuits que les particuliers. Ils ont accès à des catalogues spécifiques, parfois composés de 700 000 références. Mais en comparant les prix, certaines différences laissent perplexe : un stylo vendu 2,26 euros contre 1,59 euros en grande distribution, des ampoules facturées 48 euros alors qu’elles coûtent en moyenne 3 euros dans un magasin de bricolage. D’où viennent ces écarts ? Qui fixe ces tarifs ? Et comment sont contrôlés les 90 milliards d’euros de dépenses publiques annuelles ? Plongée dans un système où certaines entreprises excellent dans l’art de surfacturer l’administration.

Ministres, députés : le coût de leurs privilèges
Chauffeur personnel, agent de sécurité, secrétaire particulier… Les avantages accordés aux anciens Premiers ministres sont aussi enviables que controversés, surtout à l’heure où la rigueur budgétaire est de mise. Certains députés et sénateurs remettent en cause ces privilèges, dont le coût a grimpé de 11 % en 2023 pour atteindre 1,4 million d’euros par an, hors frais de sécurité. Mais ces avantages ne s’arrêtent pas aux anciens chefs de gouvernement : les députés bénéficient, en plus de leur indemnité parlementaire et du budget pour leurs collaborateurs, d’une enveloppe mensuelle de 5 950 euros pour leurs frais de mandat. Comment est utilisé cet argent ? Et ces dépenses sont-elles réellement encadrées ? Enquête sur un système où certaines pratiques d’un autre temps perdurent.


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Agences de l’État : 60 milliards d’euros pour quelle utilité ?
Avec plus de 1 200 agences d’État employant 450 000 personnes et un budget global de 60 milliards d’euros, la question se pose : la France peut-elle encore assumer un tel poids bureaucratique ? Et surtout, quels sont les résultats concrets de ces structures souvent opaques ? Prenons l’exemple des Conseils Économiques, Sociaux et Environnementaux Régionaux, présents dans chaque région et représentant un coût de 5 millions d’euros par an pour la production de rapports dont l’impact reste incertain. De plus, la superposition des agences crée une complexité absurde : dans le marais poitevin (Deux-Sèvres), agences régionales, départementales et intercommunales interviennent sur un même territoire avec des budgets et des missions redondantes. Pourquoi une telle multiplication des structures ? Qui décide de leur création et comment leurs dépenses sont-elles contrôlées ?

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