Envoyé Spécial du 12 juin : sommaire et reportages ce soir sur France 2


Publicité

Envoyé Spécial du 12 juin 2025 – Ce jeudi soir à la télé, Elise Lucet vous donne rendez-vous à 21h10 pour un nouveau numéro inédit du magazine « Envoyé Spécial ». On vous propose de découvrir le sommaire de ce qui vous attend ce soir.


A découvrir dès 21h05 sur la chaîne, mais aussi en avant-première et en replay sur France.TV.

Envoyé Spécial du 12 juin : sommaire et reportages ce soir sur France 2
Crédits photo : Nathalie Guyon/FTV


Publicité

Envoyé Spécial du 12 juin 2025 : les reportages

Faut-il taxer les retraités ?
Pour tenter de combler le déficit public, le gouvernement Bayrou explore diverses pistes, notamment du côté des retraités. À Andernos, station balnéaire du bassin d’Arcachon élue récemment ville la plus agréable pour les seniors par un cabinet immobilier, Envoyé spécial est allé à leur rencontre.
Comment perçoivent-ils ce débat ? Que se passerait-il si l’abattement fiscal de 10 % était supprimé ? Entre ceux qui estiment avoir suffisamment contribué tout au long de leur vie et ceux qui jugent normal de participer à l’effort collectif, les discussions s’animent autour des tables du club du troisième âge…

Alerte aux moustiques tigres
Dans des départements comme le Var ou le Vaucluse, la dengue – maladie autrefois cantonnée aux zones tropicales – touche désormais la France. En cause : le moustique tigre, un petit insecte noir et blanc arrivé d’Asie il y a vingt ans. Depuis, il a conquis 78 départements, gagnant même la Bretagne, et véhicule des virus comme la dengue, le chikungunya ou encore le Zika, auparavant absents de notre territoire.
En 2023, 45 cas de dengue ont été recensés en France chez des personnes n’ayant pas voyagé. Face à cette menace sanitaire, comment les autorités sanitaires tentent-elles de freiner sa progression et de limiter les risques d’épidémie ? Quels gestes adopter et quels produits sont réellement efficaces pour se protéger ? Envoyé spécial mène l’enquête.


Publicité

Israël : ces soldats qui refusent la guerre
Un mouvement inédit inquiète l’armée israélienne : depuis début 2025, un cinquième des 300 000 réservistes de Tsahal n’ont pas répondu à l’appel. Pour la première fois depuis le début du conflit à Gaza, l’un d’eux, Daniel Yohaval, 32 ans, a été incarcéré par un tribunal militaire après avoir publiquement refusé de combattre, dénonçant une guerre mettant en péril la vie des otages israéliens et des civils palestiniens.
Ce phénomène, impensable il y a quelques mois, s’affiche aujourd’hui au grand jour. Des « refuzniks », comme on les appelle, manifestent devant la prison où Daniel est détenu. Parmi eux, Neta et Yuval, qui refusent de participer à ce qu’ils considèrent comme des « crimes de guerre ».
Plus troublant encore pour l’état-major : des officiers quittent eux aussi les rangs. Un chef d’unité anti-explosifs témoigne anonymement de son désenchantement. Des milliers d’anciens hauts gradés signent une pétition pour un cessez-le-feu. Si le gouvernement de Benyamin Netanyahou y voit un mouvement marginal, à Tel Aviv, les rassemblements de la gauche affichent désormais, aux côtés des otages israéliens, les visages d’enfants et de femmes palestiniens tués sous les bombardements.

Migrants expulsés, la fin du rêve américain

Après douze années passées aux États-Unis, José vient d’être expulsé. Il retrouve au Guatemala une mère qu’il n’avait pas revue depuis son départ clandestin vers un avenir meilleur. Comment réapprendre à vivre dans un pays quitté à 19 ans, alors que sa femme et son fils sont restés aux États-Unis ?
Depuis janvier 2025, plus de 15 000 Guatémaltèques ont été renvoyés par les autorités américaines. Une politique de fermeté relancée par Donald Trump, dans la continuité de celle de ses prédécesseurs. À leur retour, certains migrants font face à des situations tragiques. Maritza, par exemple, a perdu sa maison, hypothéquée pour financer son passage.
Comment réinsérer ces exilés, souvent coupés de leur pays d’origine depuis des années ? Et comment les accueillir dans un pays miné par la pauvreté et la violence, qui dépend largement des transferts d’argent venus des États-Unis – plus de 21 milliards de dollars par an, soit près d’un cinquième du PIB guatémaltèque ? Un reportage poignant au cœur d’un retour brutal à la réalité.

A LIRE AUSSI


Publicité


error: Content is protected !!
Retour en haut