Suite et à priori fin du procès qui opposait l’actrice américaine Scarlett Johansson à l’écrivain français Grégoire Delacourt. En cause la publication de son roman « La Première chose qu’on regarde ».
N’appréciant pas de voir sa personne et son nom utilisés dans ce roman de fiction, elle réclamait à Grégoire Delacourt et à son éditeur (ndrl : JC Lattès) la modique somme de 50.000 euros de dommages et intérêts ainsi que « l’interdiction de la cession des droits de reproduction et d’adaptation de l’ouvrage et toute utilisation non autorisée de son nom ».

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Aujourd’hui la 17e chambre civile du tribunal de grande instance de Paris a rendu son verdict : M. Delacourt et les éditions Jean-Claude Lattès ont été condamnés à lui verser 2.500 euros de dommages et intérêts en réparation de son préjudice moral et la même somme au titre des frais de justice.
Selon RTL, les « passades » (ou relation amoureuses éphémères) prêtées à l’actrice dans le livre constituent bien une atteinte à la vie privée d’autant qu’elles n’ont jamais été officialisées.
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L’actrice a été déboutée du reste de sa plainte qui concernait l’exploitation frauduleuse de son nom, de son image et sa notoriété.