« Capital » du 14 février 2021 : au sommaire ce soir « Acheter et vendre d’occasion, une vraie chance pour notre porte-monnaie et pour la planète ? »


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« Capital » du 14 février 2021 : sommaire et reportages de ce soir. Ce soir, Julien Courbet vous donne rendez-vous sur M6 pour un numéro inédit de votre magazine économique préféré « Capital ». Et ce soir il a pour thème « Acheter et vendre d’occasion, une vraie chance pour notre porte-monnaie et pour la planète ? »


« Capital » du 14 février 2021
capture écran M6


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« Capital » du 14 février 2021 : sommaire et reportages de ce soir

Hypers et supermarchés : l’occasion, leurs nouveaux produits d’appel ?

Sept Français sur dix se disent prêts à renoncer à l’achat de produits neufs. Pour des questions environnementales, éthiques mais surtout de pouvoir d’achat, l’occasion a tout pour plaire. Le marché des produits de seconde main pèse aujourd’hui sept milliards d’euros. Et il ne cesse d’augmenter. Leader historique de l’occasion, Le Bon Coin, voit désormais arriver de solides concurrents sur son secteur. C-Discount et la Redoute viennent de lancer leur propre plate-forme de produits de seconde main. Et le commerce physique aussi lorgne sur ce nouveau filon. Après Leclerc, qui avait le premier ouvert des rayons d’occasion en 2018, Carrefour, Auchan et Système U s’y sont mis. Comment tous ces géants du commerce physique ou digital se disputent-ils vos objets à vendre ? Où faut-il acheter pour faire les meilleures affaires ?

Voitures d’occasion : les nouvelles solutions pour éviter les pièges ?


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L’an passé, quand un Français achetait une voiture neuve, trois autres préféraient s’installer au volant d’un véhicule d’occasion. Cinq millions de voitures ont ainsi changé de main en 2020, du jamais vu. Car l’occasion, c’est bien moins cher que le neuf et les Français sont plus que jamais à la recherche de bonnes affaires pour ne pas se ruiner au volant. Ainsi, une recherche sur quatre concerne un véhicule proposé à moins de 2 500 euros. Acheter ou vendre, difficile de ne pas se perdre dans la jungle de la vente d’occasion.

Pour aider les acheteurs, des concessionnaires d’un nouveau genre se multiplient depuis quelques années sur le bord de nos routes. Autoeasy, Vendezvotrevoiture.fr ou encore CapCar. En échange d’une commission, ces agences automobiles se chargent de vendre votre voiture à votre place. Un business calqué sur celui des agences immobilières. Quelles sont leurs méthodes pour que votre voiture leur rapporte gros ? Et peut-on vraiment faire confiance à ces intermédiaires d’un nouveau genre ?

L’essor des ventes de véhicules d’occasion profite aussi à ceux qui ont misé sur la confiance pour vous séduire. Comme Autosphère ou Aramis Auto, des poids lourds du secteur. Leurs crédos : reconditionner des voitures d’occasion dans leurs surprenantes usines, pour les revendre en meilleur état aux particuliers. Simple lifting ou réelle remise à neuf, que valent leurs offres ? Faire appel à leurs services est-ce toujours un bon plan ? Deux ventes sur trois s’opèrent de particulier à particulier et de la bonne affaire à l’arnaque, le chemin n’est pas long.

Capital vous révèlera tout d’une arnaque qui prend de plus en plus d’ampleur. C’est le coup du compteur kilométrique trafiqué. Il concernerait une voiture d’occasion en vente sur dix, et rapporte gros à des intermédiaires peu scrupuleux. Comment être certain de ne pas se faire rouler quand on n’y connaît rien en mécanique ? Quels sont les moyens de ne pas se faire piéger ?

Téléphone : peut-on se fier aux reconditionnés ?
C’est une lame de fond : sur vingt millions de smartphones vendus l’an dernier, deux millions l’ont été en reconditionné ! Et le phénomène s’amplifie : ce marché progresse de 4 % par an, alors que le neuf recule de 5 %. Car les consommateurs ont compris tout l’intérêt d’acheter un téléphone d’occasion remis à neuf : on peut s’offrir un portable presque dernier cri sans y mettre le prix fort ! Mais si, à l’origine, acheter un téléphone reconditionné s’affichait comme un bon plan assuré, le succès de ce marché a fait apparaître des pratiques parfois douteuses : vices cachés, écrans non conformes, batteries défectueuses et un coût environnemental exorbitant, car certains appareils sont reconditionnés à l’autre bout du monde avant d’être revendus chez nous. Alors, à quelle condition acheter un smartphone reconditionné s’avère une bonne affaire pour votre porte-monnaie et pour la planète ? Comment détecter les pièges de certains revendeurs ? Quelle garantie vous protège d’une erreur d’achat ?



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