C dans l’air du 5 janvier 2023 : invités et sommaire


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C dans l’air du 5 janvier 2023, invités et sommaire – Ce jeudi soir et comme chaque jour, Caroline Roux vous donne rendez-vous sur France 5 pour un nouveau numéro inédit de « C dans l’air ». Quels sont les invités et le sommaire ce soir ? On vous dit tout.


Rendez-vous dès 17h40 sur France 5 ou sur france.tv pour le replay.

C dans l'air du 5 janvier 2023 : invités et sommaire
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C dans l’air du 5 janvier 2023 : le sommaire

🔵 Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, sera ce soir l’invité de Caroline Roux.
Le 1er janvier a été annoncé le durcissement des conditions d’entrée sur le territoire français. Les voyageurs en provenance de Chine doivent désormais présenter un test Covid négatif, c’est aussi le retour du port du masque obligatoire. Cette mesure n’est toutefois pas appliquée partout en Europe ce qui pose la question de son efficacité.
Les grèves de la SNCF de décembre ont fortement perturbé les déplacements des Français à l’occasion des fêtes. Cela vient s’ajouter au problème plus général de la dégradation du service de transports en commun dû à une pénurie nationale de chauffeurs. Dans ce contexte, est-il toujours pertinent d’envisager la privatisation des lignes ?
Clément Beaune reviendra sur ces faits marquants et cette situation inédite à l’approche des Jeux Olympiques de 2024.

🔵 Des chars français en Ukraine
Des chars français bientôt livrés à l’Ukraine. C’est la promesse faite par Emmanuel Macron à Volodymyr Zelensky pour affronter l’armée russe. Léger, monté sur des roues et doté de canons, l’AMX-10 RC, le nom de ce char fabriqué dans l’Hexagone depuis les années 1980, est une arme offensive. « Le président a souhaité amplifier l’aide » militaire apportée à Kiev « en acceptant de livrer des chars de combat légers », a expliqué l’Élysée à l’issue d’un coup de téléphone d’une heure entre les deux dirigeants, précisant que « c’est la première fois que des chars de conception occidentale sont fournis aux forces armées ukrainiennes ». Les alliés européens de l’Ukraine ont déjà livré des chars de conception soviétique, mais jamais encore de chars de facture occidentale, malgré les demandes répétées de Kiev. L’envoie de ces engins de combat par la France, plus de dix mois après le début de la guerre en Ukraine, marque une nouvelle étape et pourrait ouvrir la voie à d’autres livraisons.
Parallèlement, le New York Times rapporte, en Une, que 4 000 soldats de la prestigieuse 101e division aéroportée américaine, qui s’était illustrée durant la Seconde Guerre mondiale, s’entraînent actuellement en Roumanie, dans le cadre de la stratégie de « dissuasion » menée à l’égard de la Russie. L’objectif étant de « mettre en garde » Moscou contre toute action dans un pays de l’OTAN, tout en se gardant de provoquer une « escalade ».
Côté russe, alors que les critiques se font entendre après le bombardement contre une base militaire russe à Makiïvka, dans l’est de l’Ukraine, le 31 décembre, Vladimir Poutine a assisté mercredi en visioconférence au départ en mission d’un navire de guerre équipé de nouveaux missiles de croisière hypersoniques Zircon, un des fleurons de l’arsenal militaire russe. Une manière de répondre au déploiement en Ukraine du système de défense antiaérien américain Patriot et de reprendre la main sur la communication en détournant les regards du fiasco de Makiïvka, dont le bilan a été réévalué à 89 morts par Moscou. La Russie a également confirmé que l’utilisation des téléphones par les soldats russes aurait permis leur géolocalisation et l’attaque menée à l’aide des systèmes lance-missiles Himars, une arme fournie par les États-Unis.
A Washington, le porte-parole de la Maison-Blanche a fait savoir qu’il n’y a « aucune lamentation de la part de l’administration (américaine). C’est la guerre. Les Ukrainiens ont été envahis. Ils ripostent et se défendent », a-t-il dit lors d’un entretien avec la presse alors que les spéculations sur l’état de santé de Vladimir Poutine sont relancées.
Dans une interview accordée à la chaîne américaine ABC mercredi, le directeur du renseignement militaire ukrainien a assuré que Vladimir Poutine était « mourant », indiquant tenir ses informations de « sources humaines ». « Il va mourir très vite, je pense, j’espère », a ajouté ce haut gradé. Et d’ajouter néanmoins : « Cette guerre devrait se finir avant qu’il ne meure ». L’état de santé de Vladimir Poutine fait l’objet de nombreuses rumeurs depuis le début de la guerre en Ukraine. Interrogée sur ce point ce jeudi, la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna a préféré couper court sur l’antenne de LCI : « C’est une évaluation qui n’est ni confirmée, ni partagée par les différents alliés avec lesquels nous travaillons. »
Alors à quoi vont servir les chars français en Ukraine ? Au début de la guerre, la France ne donnait pas le détail de l’armement qu’elle fournissait à l’Ukraine, pourquoi est-ce qu’elle le dit aujourd’hui ? Pourquoi le bombardement de Makïivka par les Ukrainiens est un événement inédit ? Quelles sont ses répercussions en Russie ? Enfin que sait-on de l’état de santé de Vladimir Poutine ?


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Retrouvez un nouveau numéro inédit de « C dans l’air » ce jeudi 5 janvier 2023 à 17h40 sur France 5. Rediffusion à 23h55.



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