C dans l’air du 21 décembre 2023 : les invités et le sommaire


Publicité

C dans l’air du 21 décembre 2023, invités et sommaire – Ce jeudi et comme chaque soir sur France 5, Caroline Roux vous donne rendez-vous pour un nouveau numéro inédit de « C dans l’air ». Quels sont les invités et le sommaire de l’émission aujourd’hui ? On vous dit tout.


Rendez-vous dès 17h40 sur France 5 ou sur france.tv pour le replay.

C dans l'air du 21 décembre 2023 : les invités et le sommaire
FTV


Publicité

C dans l’air du 21 décembre 2023 : le sommaire

⚫ Nathalie Saint-Cricq, éditorialiste politique à France Télévisions, autrice de “L’Ombre d’un traître”, sera ce soir l’invitée de Caroline Roux dans #cdanslair.
Alors que le général de Gaulle arrive au pouvoir en 1944, il ne veut pas laisser la résistance aux Communistes et demande à son ministre des Anciens combattants de trouver 15 corps représentatifs de la résistance pour qu’il fassent leur entrée au Mont-Valérien. Ce qu’on ne saura pas avant la publication de ce roman, c’est que le quatrième cercueil ne contient aucun corps, il est vide. Un héros douteux a failli reposer au Mont-Valérien. On a exfiltré les restes de sa dépouille la veille de l’inauguration du Mont-Valérien. Pour Nathalie Saint-Cricq, “personne ne doit savoir, mais il plane au Mont-Valérien comme l’ombre d’un traître”.
Les 10 et 11 novembre 1945, un traître a donc été honoré parmi les quinze cercueils. Ce n’est que deux ans plus tard, le 30 mai 1947 que “le jury d’honneur ayant pris connaissance des témoignages accablants déposés contre B. estime que sa dépouille ne doit pas reposer au milieu des symboles que doivent représenter les noms du Mont-Valérien”.
À travers d’archives historiques, de procès verbaux du jury d’honneur, des lettres et des témoignages forts retrouvés, Nathalie Saint-Cricq publie son deuxième roman “L’Ombre d’un traître”, aux éditions de l’Observatoire, dans lequel elle revient sur l’événement historique du 18 juin 1960 : l’inauguration du Mont-Valérien, où quinze héros de la France combattante choisis à la Libération font leur entrée. Mais à travers les yeux de Désiré, jeune journaliste orphelin et débutant, elle révèle une affaire classée “secret défense” puisque parmi tous ces cercueils se cache un traître…

⬛ « Un bouclier qui nous manquait ». C’est ainsi qu’Emmanuel Macron a défendu la loi immigration, ce mercredi 20 décembre, dans l’émission « C à vous » sur France 5 assumant un texte qui, selon lui, n’a rien de « déshonorant ». Et tant pis s’il a fracturé sa majorité à l’Assemblée et ébranlé certains ministres dont Aurélien Rousseau qui a présenté hier matin sa démission du gouvernement. Des macronistes de l’aile gauche inquiets de la remise en cause de l’automaticité du droit du sol, de l’introduction de la « préférence nationale » pour le versement des allocations familiales et de l’extension des critères de déchéance de nationalité.
Appelant à « calmer les esprits » le président de la République a fustigé les « bonnes âmes » et défendu sa conception du « barrage » à l’extrême droite. « Si on ne veut pas que le RN arrive en responsabilité, il faut traiter le problème qui le nourrit », a-t-il insisté réfutant toute victoire idéologique de Marine Le Pen. Néanmoins, le chef de l’Etat a reconnu que toutes les mesures de la loi, modelée par Les Républicains (LR), ne le font pas « sauter au plafond », notamment « la caution demandée aux étudiants étrangers » qui « n’est pas une bonne idée ». Il a confirmé avoir saisi le Conseil constitutionnel. L’objectif est d’examiner un texte de loi qui contient « des mesures manifestement et clairement contraires à la Constitution », avait expliqué mardi soir le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, à la tribune du Sénat.
Les Sages ont désormais un mois pour statuer. D’ores et déjà 32 départements présidés par des élus de gauche ont annoncé qu’ils n’appliqueraient pas le durcissement des conditions de versement aux étrangers de l’allocation personnalisée d’autonomie, comme l’énonce la loi immigration. Et ce matin, l’ancien chef de l’Etat François Hollande a fustigé sur France Inter « un texte écrit par les LR sous la dictée du Rassemblement national » dont les mesures correspondent à de « la préférence nationale » et représentent « une entorse au droit fondamental ». Répondant à la Première ministre qui la veille avait nié toute mesure de préférence nationale, en affirmant que « comme François Hollande, il peut y avoir des distinctions entre les Français », exemple la prime d’activité, l’ancien président a jugé ces propos « faux juridiquement et fallacieux politiquement ». « On est dans une distinction que les juges constitutionnels auront à rappeler », a-t-il ajouté.


Publicité

Retrouvez un nouveau numéro inédit de « C dans l’air » ce jeudi 21 décembre 2023 à 17h40 sur France 5. Rediffusion à 23h55.



Publicité


error: Content is protected !!
Retour en haut