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13h15 le dimanche du 25 août 2024 : le sommaire aujourd’hui – Nouveau numéro inédit de « 13h15 le dimanche » cet après-midi avec Laurent Delahousse. On vous propose dès maintenant de découvrir ce qui vous attend dans ce numéro intitulé « Ici est tombé… ».
Rendez-vous dès 13h15 sur France 2 ou sur france.tv pour le replay.

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« 13h15 le dimanche » du 25 août 2024 : « Ici est tombé », le sommaire
À l’occasion des commémorations du 80e anniversaire de la Libération, le magazine se penche sur les histoires de ces anonymes qui ont risqué leur vie pour libérer la capitale de l’occupation nazie. On en dénombre plus de 1 000, leurs noms inscrits sur des plaques de marbre, accrochées aux murs de Paris, découvertes au détour d’une rue ou au pied d’un immeuble. Toutes ces plaques sont datées d’août 1944, rappelant le sacrifice de ceux qui ont lutté contre l’occupant nazi lors de la libération de Paris entre le 16 et le 25 août 1944. Ce reportage, enrichi d’archives et de témoignages pour « 13h15 le dimanche » (X, #13h15), donne un visage, une histoire, une voix à ces noms gravés dans la pierre.
Qui étaient ces jeunes gens qui ont osé risquer leur vie alors que rien ne garantissait la victoire ? Qui étaient Francisco Jacques, tombé rue de Seine, ou René Revel, mort au pont des Arts ? Comment des hommes ordinaires sont-ils devenus des héros ?
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Des épitaphes de pierre racontent leur histoire. René Revel, gardien de la paix sous un régime collaborant avec l’occupant, a choisi de rejoindre un mouvement de résistants policiers clandestins armés lors de l’insurrection parisienne d’août 1944. Il est tombé dès le premier jour de la révolte. Auguste Fenioux, un humble paysan du Poitou, a pris le nom de guerre Francisco Jacques pour s’engager dans l’armée d’Afrique. Entré dans Paris le matin du 25 août avec la 2e division blindée du général Leclerc, il est mort à quelques pas du jardin du Luxembourg.
Certains ont échappé à la mort. Comme Charles Pégulu de Rovin, étudiant en école d’ingénieur, qui a pris les armes à 18 ans pour combattre au cœur de Paris. Ou encore Charles Huck, âgé de seulement 10 ans à l’époque, qui a aidé son père à ériger des barricades dans leur quartier de Montparnasse…