Publicité
Après plusieurs jours de silence face à une tempête médiatique déclenchée par le blogueur Aqababe, Iris Mittenaere a finalement pris la parole publiquement ce jeudi soir. Dans un communiqué officiel diffusé sur ses réseaux sociaux, l’ancienne Miss Univers dénonce une campagne de haine à son encontre, reposant sur des propos mensongers et déformés, et annonce avoir engagé des poursuites judiciaires.
« Depuis plusieurs jours, je fais l’objet d’une campagne de haine et de diffamation sur les réseaux sociaux. (…) Il est temps que cela cesse » débute-t-elle dans ce texte fort, dans lequel elle condamne fermement les atteintes à son image et à sa vie privée.

Publicité
L’ex-reine de beauté affirme être victime d’une vague de cyberharcèlement et dénonce « des propos mensongers, volontairement déformés ou sortis de leur contexte ont été relayés pour tenter de nuire à mon image, à ma parole et à mon engagement« .
Face à l’ampleur des attaques, elle a décidé de réagir fermement : une plainte pénale a été déposée auprès du Procureur de la République de Paris. Les chefs d’accusation mentionnés sont lourds : divulgation de correspondances privées, diffamation publique, cyberharcèlement et incitation au cyberharcèlement.
Publicité
En parallèle, une procédure d’urgence civile est également en cours, visant à faire reconnaître une atteinte à l’intimité de sa vie privée.
« J’ai donc donné mandat à mes avocats de tout mettre en œuvre pour faire cesser ces agissements, » précise-t-elle, réaffirmant son engagement pour le respect, la vérité et la justice.
Malgré la violence des attaques, Iris Mittenaere se veut résolument combative : « Je suis debout, entourée, et pleinement engagée dans mes projets. » Elle termine son message par un remerciement appuyé à ses soutiens : « Votre soutien est une force précieuse. »
Rappelons qu’après les révélations d’Aqababe, les ex d’Iris Mittenaere, Diego El Glaoui et Bruno Pelat, ont rapidement réagi. Diego, qui était fiancé à Iris, a confirmé les révélations même s’il avait initialement choisi de ne pas en parler, tandis que Bruno Pelat a fermement condamné la divulgation d’images privées.