The Voice : Yoann a envie de travailler avec Goldman

C’est Yoann Fréget qui a remporté la seconde édition de « The Voice, la plus belle voix », samedi dernier sur TF1. Avec seulement 0,2% d’avance sur Olympe, Yoann a été sacré vainqueur et va maintenant se mettre à la préparation de son premier album.


Capture TF1
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Dans une interview pour Métro, Yoann avoue qu’il a très envie de travailler avec Jean-Jacques Goldman.

« Jean-Jacques Goldman, j’avoue que j’aime beaucoup. C’est quelqu’un qui a les mêmes valeurs positives que moi, même si je sais qu’il préfère rester désormais dans un certain anonymat. J’aimerais qu’il fasse une exception pour moi. » a-t-il confié alors qu’on lui demandait quel compositeur le fait rêver.

Yoann évoque aussi la tournée The Voice 2, qu’il partagera avec les sept autres talents demi-finalistes.


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« Je suis hyper enthousiaste. La tournée, c’était mon objectif, au minimum. Ca va être l’occasion de donner au public, quelque chose de différent de la télé. J’ai hâte aussi des échanges qu’on va avoir entre nous, les huit talents. J’espère qu’on va se nourrir les uns des autres, pour être encore meilleur à chaque concert. Je vais tout faire pour. » a expliqué Yoann.

Et le gagnant de The Voice 2, qui reste très humble et garde les pieds sur terre, parle des affinités qu’il a avec les autres talents : « J’ai beaucoup de complicité avec de nombreux candidats. Il y a évidemment Emmanuel, c’est mon « aîné ». Je suis très proche aussi d’Anthony et Louane. Je ne veux surtout pas être mis en avant par rapport aux autres. »

Quant à Olympe, arrivé deuxième de très près et grand favori depuis le début du programme, Yoann avoue qu’il « était pas mal dans la compétition depuis le début, même s’il est très gentil ».

Enfin, Yoann Fréget annonce qu’il a l’intention d’ouvrir rapidement une école de chante : « Ce sera une école pour tout le monde, avec tous les styles musicaux. Le but, ce sera de révéler l’esthétique innée de la personne. Pas de lui dire : ne chante pas comme ça, fais autrement. Je veux donner les bases, et ensuite laisser le talent s’épanouir. J’aimerais que ça se fasse assez rapidement, même si je dois enregistrer l’album. Je n’exclue pas de m’appuyer sur des gens que j’aurais formés car j’ai développé une méthode qu’il me tient à cœur de partager ».

L’interview complète à lire sur le site de Métro.



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