« Jusqu’à la garde » : histoire et interprètes du film de France 2 ce soir (mercredi 24 novembre 2021)


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« Jusqu’à la garde » c’est ce soir sur France 2 et en streaming vidéo, avant-première puis replay sur France 2. Ce film est diffusé à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes du 25 novembre pour laquelle France Télévisions réaffirme et poursuit son engagement au long cours pour lutter contre ce fléau, et pousser chacune et chacun à agir et à réagir.


« Jusqu'à la garde »
©Haut et Court


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Au programme de la soirée « Jusqu’à la garde », premier long-métrage écrit et réalisé par Xavier Legrand – un film multi-récompensé – puis un numéro spécial d’Infrarouge.

« Jusqu’à la garde » : l’histoire

Le couple Besson divorce. Pour protéger son fils d’un père qu’elle accuse de violences, Miriam en demande la garde exclusive. La juge en charge du dossier accorde une garde partagée au père qu’elle considère bafoué. Pris en otage entre ses parents, Julien va tout faire pour empêcher que le pire n’arrive.

Interprètes et personnages

Avec Denis Ménochet (Antoine), Léa Drucker (Miriam), Thomas Gioria (Julien), Mathieu Saïkaly (Samuel), Florence Janas (Sylvia), Saadia Bentaïeb (La juge), Sophie Pincemaille (Maître Davigny), Emilie Incerti-Formentini (Maître Ghénen)


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Le saviez-vous ?

Ce film, récompensé dans de nombreux festivals et notamment de 4 César en 2019 (Meilleur Film, Meilleure Actrice, Meilleur Scenario original, Meilleur Montage) fait suite au court métrage « Avant que de tout perdre » du même auteur, où déjà Lea Drucker, Denis Ménochet et Mathilde Auneveux jouaient.

Et juste après « Infrarouge »

Un documentaire inédit dans « Infrarouge », Amour à mort

Résumé : Amour à mort donne la parole à sept femmes victimes de violences conjugales, qui ont réussi à s’en sortir. Sept exemples de chemins de vie et de combat. Sept parcours de résilience. Elles disent l’isolement, le silence, la dévalorisation et la culpabilité sur lesquels reposent l’emprise. Elles disent les ravages que ces violences ont produits sur elles-mêmes et sur leurs enfants. Mais en s’adressant à celles qui subissent encore la violence, elles donnent surtout de l’espoir. Il est possible de s’en sortir à condition de sortir du silence. Quand la parole intervient, la violence recule.

Avec les témoignages d’Anne, administratrice de la vie scolaire, de Florence, psychopraticienne, d’Agathe, assistante sociale, d’Aude, hydrogéologue, de Christelle, éleveuse de chèvres, de Géraldine, responsable de magasin, de Latifa, assistante en mairie.



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