« Capital » du 3 juillet 2022 : au sommaire ce soir sur M6 « Vacances pas chères, les nouveaux bons plans »


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« Capital » du dimanche 3 juillet 2022 : sommaire et reportages – Ce dimanche soir à la télé, Julien Courbet vous donne rendez-vous sur M6 pour un nouveau numéro inédit de votre magazine économique préféré « Capital ». Et ce soir il a pour thème : « Vacances pas chères, les nouveaux bons plans ».


A découvrir dès 21h10 sur M6 et en replay sur 6PLAY.

« Capital » du 3 juillet 2022 : au sommaire ce soir sur M6 "Vacances pas chères, les nouveaux bons plans"
M6


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« Capital » du 3 juillet 2022 : sommaire et reportages de ce soir

Leclerc, Carrefour, Lidl, les nouveaux poids lourds du voyage
Pour partir en vacances, de plus en plus de Français font confiance à leur supermarché. Les agences de la grande distribution pèsent aujourd’hui 20% du marché du voyage ! Avec un maillage serré du territoire, ces magasins aspirent une clientèle de proximité qui leur fait confiance pour vendre à petit prix. Le leader, Leclerc, mais aussi Carrefour et Lidl, reproduisent les recettes qui font le succès des grandes surfaces : des promos et des prix barrés. Comment s’y prennent-ils pour obtenir des rabais jusqu’à -70% ? Capital est entré dans les coulisses de ces négociations en Grèce où Carrefour prépare une offre à petit prix pour l’été, et à Majorque (Iles Baléares-Espagne) où Leclerc a envoyé une centaine de touristes pour une semaine au soleil dans un hôtel qui héberge en même temps les clients de ses concurrents Lidl et Carrefour. Coté commercialisation, si Carrefour et Leclerc ont leurs agences en magasins, Lidl, lui, a décidé de commercialiser uniquement sur internet et mise aussi sur la diffusion de douze millions de prospectus par semaine pour gagner des parts de marché.

Bases de loisirs, les vacances à deux pas de chez soi
Des vacances divertissantes, des sensations fortes, une multitude d’activités, principalement nautiques près de chez vous, c’est la promesse des bases de loisirs. Le marché est en pleine expansion. Et leur fréquentation en hausse : +20% en moyenne sur les cinq dernières années. Si, aux portes des grandes villes, les régions ont été les premières à développer des bases de loisirs au bord de plans d’eau, aujourd’hui, elles ont pris un coup de vieux, concurrencées par des investisseurs privés, qui innovent et mettent beaucoup d’argent sur la table. En Vendée, O’Fun Park débourse 1,8 millions d’euros pour créer un lac artificiel et un WaterJump, des toboggans qui vous font faire des loopings dans les airs. Basé en Savoie, Wam Park veut conquérir la France en ouvrant deux bases de loisirs tous les trois ans et prospecte pour dénicher lacs et étangs à bon prix. Mais ces champions du plein air sont très dépendants de la météo. Comment limitent-ils les risques ? Leurs parcs sont ouverts seulement six mois dans l’année. Alors ils rivalisent d’imagination pour nous pousser à rester plus longtemps sur place… et donc dépenser plus ! Leur prochain défi : faire rester leurs clients plusieurs jours. O’Fun Park prépare déjà une centaine d’hébergement pour ses visiteurs.


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Compagnie low cost : toujours une bonne affaire ?
Les ouvertures de lignes se multiplient entre la France et New York. Et désormais, il est possible d’y aller pour 394 euros, aller-retour en vol direct low cost. La compagnie French Bee réussit à être 20% moins chère qu’Air France, même au cœur de l’été. Pour réussir, elle casse les prix mais facture un maximum de services. Les bagages en soute à 40 euros ; les repas à bord entre 20 et 40 euros ; et pendant le vol le personnel est encouragé à vous proposer d’autres suppléments. French Bee s’inspire des champions européens du low cost : Easyjet et Ryanair. Ces compagnies à bas prix ont encore inventé un nouveau moyen de gonfler nos factures discrètement. Si le prix de base a baissé ces dernières années, désormais, le bagage cabine est lui aussi facturé, entre 8 et 55 euros. L’enregistrement de dernière minute est à 55 euros chez Ryanair. Capital révèle comment les équipes des aéroports s’y prennent pour faire payer un maximum d’options à la dernière minute. En volant pour moins cher, prend-on des risques pour sa sécurité ? Des pilotes dénoncent un rythme de travail si soutenu qu’il les empêche de contrôler correctement les avions à chaque escale…

La bande-annonce

On termine comme toujours avec un extrait de ce qui vous attend ce soir.



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