« Tuer au nom de Dieu » : la fiction documentaire ce soir sur France 2 (26 août)


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« Tuer au nom de Dieu : enquête sur le massacre de la Saint-Barthélemy », c’est la fiction documentaire qui vous attend ce mardi 26 août 2025 sur France 2.


Rendez-vous dès 21h10 sur France 2 mais aussi en replay et streaming vidéo sur France.TV. Les opus 1 et 2 sont d’ores et déjà disponibles en avant-première ICI.

« Tuer au nom de Dieu » : la fiction documentaire ce soir sur France 2 (26 août)
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« Tuer au nom de Dieu : enquête sur le massacre de la Saint-Barthélemy » : présentation

Dix ans après le massacre de la Saint-Barthélemy d’août 1572, qui coûta la vie à plus de 10 000 protestants, Jean, l’un des rares survivants, décide de mener l’enquête pour retrouver les assassins de son père et de son frère. Son investigation prend la forme d’un film documentaire : caméra au poing, il parcourt les lieux de mémoire et interroge les témoins de l’époque. Catherine de Médicis, Henri III, le duc de Guise, Marguerite de Valois ou encore Henri de Navarre sont tour à tour entendus. Peu à peu, Jean parvient à infiltrer les cercles des catholiques les plus radicaux et reconstitue le puzzle de ces journées sanglantes. En identifiant les meurtriers, il met au jour les rouages du fanatisme et de la haine qui ont conduit au pire, et découvre que la vérité du massacre est bien différente de ce qu’on a voulu lui faire croire.

1er- épisode : Raison d’État
Avec l’appui du mémorialiste catholique Pierre de L’Estoile, Jean obtient de précieux entretiens avec plusieurs témoins du massacre. À Genève, il rencontre le pasteur Simon Goulart, qui consacre sa vie à dresser la liste des victimes. Pour lui, la famille royale – et notamment Catherine de Médicis – porte la responsabilité de la Saint-Barthélemy. Jean interroge ensuite Marguerite de Valois, le duc de Guise et Catherine de Médicis. Tous admettent que la Couronne a ordonné l’exécution de l’amiral Coligny et des chefs militaires protestants afin de protéger le royaume, mais chacun se défend d’avoir une part dans les massacres qui ont suivi dans les rues de Paris. Marguerite de Valois assure avoir été retenue au Louvre, Guise prétend avoir quitté la ville au moment où le tocsin sonnait, et Catherine de Médicis affirme avoir tout tenté pour stopper ce qu’elle décrit comme une folie collective incontrôlable. Jean perçoit pourtant des zones d’ombre. Les rescapés, plongés dans la panique, n’ont pu reconnaître leurs agresseurs. Mais, lorsqu’il rencontre le roi Henri III, une révélation bouleversante surgit : au Louvre, le souverain possède la montre de son père, que lui aurait offerte un certain Nicolas Pezou après le massacre. Jean tient enfin un nom lié directement à la mort de sa famille.


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2e épisode : Le temps des assassins
Henri de Navarre révèle à Jean que Nicolas Pezou était autrefois capitaine de la milice bourgeoise chargée de la sécurité de Paris, avant de devenir prévôt du Languedoc. Mais il refuse d’en dire plus, désireux de préserver la fragile paix entre catholiques et protestants. De son côté, Pierre de L’Estoile retrouve dans un récit populaire le nom de Pezou, présenté comme l’un des bourreaux responsables de centaines de meurtres, des protestants jetés dans la Seine par une mystérieuse « porte rouge », dans la « Vallée de Misère ». Mythe ou réalité ? Espérant retrouver les complices de Pezou, Jean se rend sur place, mais apprend qu’une confrérie catholique radicale, celle de Sainte-Geneviève, organise une procession en mémoire du massacre. Se faisant passer pour catholique, Jean infiltre le groupe de fanatiques, parmi lesquels figure Thomas Croizier, autre membre de la milice bourgeoise. Ils prétendent n’avoir fait qu’arrêter et emprisonner des « hérétiques ». Pourtant, à la Conciergerie, Jean et Pierre découvrent une vérité bien plus sombre. Alors qu’une crise politique secoue la monarchie, Jean finit par comprendre comment la montre de son père a atterri entre les mains de Nicolas Pezou et ce qui s’est réellement passé derrière la fameuse « porte rouge » de la Vallée de Misère.

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