« Capital » du 26 juillet 2020 : sommaire et reportages de l’émission de ce soir


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« Capital » du 26 juillet 2020 – Ce soir, Julien Courbet vous donne rendez-vous sur M6 pour un nouveau numéro inédit de votre magazine économique préféré « Capital ». Le thème de la semaine : « Frais, sain, savoureux : enquête sur les recettes à succès de l’été ».


Pour ne pas rater une miette de l’émission, rendez-vous sans faute sur M6 dès 21h05 ou en replay et en streaming gratuit sur 6Play.

« Capital » du 26 juillet 2020
© Nicolas GOUHIER/M6


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« Capital » du 26 juillet 2020 : sommaire et reportages de l’émission de ce soir

✔️ Guerre des fruits de l’été : quand la framboise ramène sa fraise
Originaire d’Europe, la framboise est le fruit rouge le plus fragile. Et pourtant, elle reste le leader de la catégorie des petits fruits rouges en France. Si sa consommation a augmenté de 30% en dix ans, en revanche, la production nationale est en chute libre et elle ne suffit plus à satisfaire la demande des consommateurs français. En fait, deux tiers de la consommation française vient de l’étranger, des importations qui ont doublé entre 2014 et 2018 grâce aux prix attractifs : en moyenne 8 euros le kilo, contre 15 euros pour la framboise française. Outre l’Espagne, c’est la Serbie qui est aujourd’hui un des plus gros pays européens producteurs de ce petit fruit rouge. Mais alors, la framboise française est-elle menacée ?

✔️ Houmous, la nouvelle star de l’apéro
À l’heure de l’apéro, le houmous tient désormais une place de choix ! À base de pois chiche, le produit est économique et facile à faire chez soi. Dans les supermarchés, on en trouve à tous les prix, entre 5 euros et 24 euros le kilo, et les rayons peuvent proposer jusqu’à une vingtaine de marques. À Paris, Lyon ou Bordeaux, les bars à houmous fleurissent et désormais la fameuse tartinade est servie aux tables des plus grands restaurants. Sur Instagram, le hashtag #humus vient de dépasser les 1,8 million de vues. Comment le houmous est-il devenu si désiré ? Et surtout que contient vraiment cette nouvelle star de l’apéro ? Notre enquête nous conduira jusqu’en Israël, un des plus gros producteurs au monde.


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✔️ Fruits et légumes : révélations sur les marchands de bord de route
Ils fleurissent dès le début de la saison estivale sur la route des plages ou au bord des départementales : les vendeurs de fruits et légumes. Fraises, cerises, melons… les stands sont plus ou moins garnis, mais toujours très simples. Seules règles : obtenir une autorisation pour vendre des produits sur la voie publique et prouver que 70% des fruits et légumes proviennent de sa propre exploitation. Peu de traçabilité, une qualité pas toujours au rendez-vous, très souvent les prix sont plus intéressants que dans les supermarchés. Pour les clients c’est l’assurance de payer directement les producteurs, sans aucun intermédiaire. Mais la compétition fait rage entre les échoppes. Et parfois, la qualité n’y est pas. Dans le Gard, 50% des stands contrôlés se sont avérés non-conformes. Pour la préfecture et la répression des fraudes, ces petits commerces à ciel ouvert sont désormais dans le viseur. Ils font partie des « priorités ». En France, près de 20% des légumes importés finiraient avec une étiquette « origine française ». Alors dans le Gard, pour limiter ces arnaques, la chambre de commerce et le département ont mis en place une sorte de label. Un réseau « bienvenue à la ferme » qui certifie au consommateur qu’il s’agit bien de produits locaux.

✔️ Eaux fruitées : les nouvelles boissons tendance
C’est la nouvelle star des boissons estivales ! La consommation de ces eaux fruitées explose en France avec une croissance à deux chiffres depuis trois ans pour atteindre 170 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel. Et c’est particulièrement l’été que les ventes décollent. Volvic, Perrier, Badoit, Cristaline, eaux plates et eaux gazeuses, toutes les grandes marques s’y sont mises et dans nos magasins, on en trouve pour tous les goûts. Leurs étiquettes colorées mettent en avant des atouts fraîcheur et santé. Et les prix s’envolent : de 0,50 euro le litre à plus d’1,50 euro, c’est quatre fois plus cher que les eaux natures ! Alors que contiennent réellement ces eaux aromatisées ? Comment sont-elles fabriquées ? Quel dosage de fruits contiennent-elles ? Et tiennent-elles toutes les promesses qu’arborent leurs jolies étiquettes ?

Capital vidéo

Petit extrait vidéo de votre émission de ce soir

« Capital » c’est ce soir dès 21h05 sur M6.



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